CHILDHOOD ;; Antosha n’a pas eu une enfance facile, né dans la première branche de la famille Bytchkov il a toujours été clair, dès sa naissance qu’il aurait à se battre pour se faire remarquer par son père. L’idée de méritocratie et de compétition l’ont toujours terriblement dérangé, alors qu’il souhaitait créer un lien avec son paternel, mais aussi son frère aîné, ceux-ci l’en empêchaient. Il a été élevé avec l’idée que l’amour familial n’existait que si l’on venait à faire ses preuves. Sa mère, effacée, n’osait pas lui prouver le contraire, alors Antosha s’est fait une raison, s’est endurci et a suivi les pas Bytchkov en se construisant une carapace plus froide que la glace. JEALOUSY ;; Antosha est intelligent et passionné et très souvent bon dans tout ce qu’il entreprend, s’attirant ainsi la jalousie de son frère aîné. Il avait tout le potentiel d’être un excellent héritier (les héritiers chez les bytchkov sont choisis en fonction d’un combat organisé), mais son besoin incessant de se rebeller contre l’autorité de son père a fait qu’il ne s’entendait pas à celui-ci, il a appris à le regretter amèrement que plus tard. TRIAL BY COMBAT ;; il a dû se battre contre son frère à l’âge de quinze ans. La tradition dit que le combat se termine seulement quand l’un des deux participants abandonnent ou n’a plus la force physique de continuer. Antosha était prêt, il avait les capacités de battre son frère, de devenir l’héritier, de faire regretter à son père toutes ces années de tourment. Et pourtant, son aîné ainsi que son paternel ont comploté contre lui, lui donnant, un poison (non mortel) l’affaiblissant le jour du procès. Il a perdu, a été gravement blessé au bras drois, puis a été répudié par son père et par fierté a quitté la maison familiale se rendant dans le camp Beauchamps, la famille ennemie à la sienne. THE WOLF ;; antoine beauchamps remarquant le potentiel du garçon décide d’accueillir Antosha dans son campement Drüskelle officieux. Il en fait un bon petit soldat fidèle, malgré son nom. Il rencontre là-bas d’autres apprentis et a l’impression d’appartenir à quelque chose. Mais Antosha a toujours été solitaire, froid, sarcastique, peu amical. Foncièrement similaire à son père, c’est pourtant son impulsivité, sa jalousie, ce caractère explosif qui le fait dénoter du reste des Bytchkov. Se rendant dans la police de Thormar, il ignore tout appel venant de sa mère, et décide de faire carrière. MARIAGE ;; Antosha, malgré la honte qu’il a apporté à la famille Bytchkov, reste un noble et si de nombreux mariages lui ont été proposé, il a toujours su refuser par pure fierté. Et aussi parce qu’il n’en voyait pas l’utilité. Plus froid que la glace, Antosha n’a jamais réellement appartenu à cette noblesse pourrie, à ces serpents hypocrites, trop franc pour son propre bien, toute potentielle fiancée qu’on lui aurait proposé, il l’aurait chassé de sa langue fourchue. Antosha s’est volontairement destiné à une vie de solitude. DRUSKELLE ;; Lorsque l’ordre des Druskelles a été réinstauré, il a immédiatement fait toutes les démarches pour le rejoindre. Devenir un soldat de la couronne semblait un moyen pratique de se mettre dans les bonnes grâces des Anderssen. Il n’aime pas les Grisha puisqu’on lui a toujours dit qu’ils étaient le démon, mais c’est plus pour sa carrière que par conviction qu’il a rejoint leurs rangs. Il n’hésite pourtant pas à tuer. Lorsque son frère l’a presque tué, lorsqu’il lui a cramé son bras droit, il a perdu une part de son âme, une part d’espoir et pour cela il ne lui pardonnera jamais. Alors, tuer est un autre moyen de se salir les mains, Antosha s’en fiche de toute façon. VENGEANCE ;; Il a pourtant grandi, mûri et à présent, il n’a plus peur de crier haut et fort que son père est un idiot. Impulsif et probablement impossible à contrôler, Antosha s’est mis en tête de se venger, d’éradiquer toute la première branche Bytchkov pour reprendre sa place d’héritier, la place qui lui revient de droit. Son enrôlement chez les Drüskelles était le premier pas vers son ascension dans la société, à présent il s’est mis en tête de s’inscruter dans la noblesse, de jouer ses cartes correctement pour reprendre ce qu’on lui a si injustement volé. Il ne veut plus être le sauvage, le bourrin, la terrible créature Bytchkov, non, il veut faire ressortir son côté politique, son côté sournois pour arriver à ses fins. Tuer, écraser, désarticuler sont des choses qu’il ne fait peut-être pas de bon cœur, mais si c’est ce qu’il faut pour entrer dans les bonnes grâces de la reine, il serait capable de faire n’importe quoi. Absolument n’importe quoi.


En résumé pour les points importants : il a toujours eu un besoin maladif de se rebeller contre son père, créant ainsi une relation conflictuelle avec celui-ci. De part son potentiel et ses capacités d’apprentissage, il s’est attiré la jalousie de son frère aîné (avec qui de base Antosha voulait créer un lien de frère), par un complot organisé par son frère et son père il a perdu le combat qui l’aurait fait héritier. Prouvant encore une fois son caractère versatile mais surtout impulsif, il s’est enrôlé dans le campement des Beauchamps (famille ennemie des Bytchkov) pour mettre hors de lui son père. A présent il est Druskelle, mais n’est pas réellement sûr qu’il aime ce qu’il fait. Son plan à présent est de se venger de la première branche de sa famille, de les éradiquer et reprendre ce qui lui est dû.
A noter aussi qu'en perdant le combat il est devenu le mouton noir de sa famille, presque effacé de son arbre généalogique, il a eu beaucoup de mal à s'en remettre et à être réintégré dans la société, d'où son immense respect pour Antoine Beauchamps qui l'a fait sans poser de questions.

And let me crawl inside your veins, I'll build a wall, give you a ball and chain, It's not like me to be so mean, You're all I wanted. Just let me hold you Like a hostage Antosha se tenait exagérément droit, alors qu’Antoine Beauchamps entra dans la salle, peut-être que comme Iseult, il avait besoin, malgré la haine qu'il aurait dû ressentir pour cet homme, de l’impressionner. Un petit sourire moqueur se dessina sur les lèvres de la gamine, alors qu’elle le regardait discrètement. Ils n’étaient plus des enfants, ils étaient à présent des adultes, des adultes qui n’avaient pourtant pas cessé leurs enfantillages puérils. Il était sa Némésis, ou plutôt son obsession, elle ne savait pas exactement où il se trouvait, mais il réussissait à chaque fois à s’immiscer dans sa caboche, sans qu’elle puisse expliquer pourquoi. Que ce soi lors de leurs entraînements ou à l’académie, il lui fallait le provoquer, le tourmenter, autant qu’il le faisait. Une compétition, un jeu qu’elle avait commencé et qu’elle ne souhaitait en aucun cas arrêter ou perdre. Parce que s’ils arrêtaient, s’ils devenaient enfin responsables et adultes, alors elle n’aurait plus aucune raison d’interagir avec lui, et cette pensée lui tordait le ventre ; et elle savait ce que ça voulait dire, mais plutôt crever que de le dire à haute voix. Ilyah avait vue à travers son jeu, il l’avait d’ailleurs taquiné, mais ce sujet restait très délicat, et Iseult préférait encore largement se voiler la face plutôt que de dire haut et fort qu’elle était tombée amoureuse du plus gros idiot ayant balayé cette terre. Elle grimaça, alors qu’elle vit qu’il la regardait à son tour, pendant quelques secondes leurs regards se croisèrent, mais elle reposa son attention sur son oncle qui hocha de la tête. Leur réelle formation pour appartenir à la police de Thormar avait enfin commencé, ils avaient leur diplôme en poche, et ils pouvaient enfin s’offrir au monde, plonger tête baissée dans le vaste qu’était la vie professionnelle. Son oncle leur commanda de claquer leurs talons ensemble en guise d’au revoir, alors que la salle commença à se vider. Iseult s’empara de son sac, attacha ses cheveux dans un chignon quelque peu scabreux et commença à se diriger vers la porte, lorsqu’elle vit Antosha assis sur le tapis de la grande salle d’entraînement. Elle avait le choix de partir, et elle aurait probablement dû le faire, mais son besoin constant d’être à ses côtés la força à le rejoindre. Elle s’assit à un mètre de lui, et soupira. « Qu’est-ce que tu veux Beauchamps ? » Il était las, probablement trop épuisé pour commencer une joute verbale ou physique avec elle. Un sourire quelque peu corrompu se mua sur les lèvres de la gosse alors qu’elle continua à soupirer lourdement. « Tu avais l’air si pathétique dans ton coin, qu’il me fallait te rejoindre pour te le dire. » Elle marqua une pause. « Qu’est-ce qui va pas Bytchkov ? tu t’es levé du mauvais côté du lit ? » Il siffla entre ses dents et tourna brusquement la tête en sa direction. « Pas aujourd’hui Iseult. » Il ne l’appelait jamais Iseult, ils avaient, au cours de ces dernières années, mis en place quelques règles : ils étaient ennemis, n’avaient donc pas le privilège de s’appeler par leurs prénoms. Et pourtant il l’avait fait. Elle se racla la gorge, se leva et lui tendit la main. « Mon oncle va revenir, si tu ne veux pas qu’il te fasse encore courir dix rondes tu devrais aller déprimer ailleurs. » Il leva les yeux lentement, doucement, vers sa main tendue, et l’attrapa, à la plus grande surprise d’Iseult. Elle le tira vers le haut, ils étaient à présent l’un face à l’autre, yeux dans les yeux, les cœurs sur la main. « Bah alors Beauchamps, on rougit ? » Elle grogna et s’approcha de lui. « Dis le encore une fois et j’te flanque mon poing droit dans la figure pour te casser le nez une seconde fois. » Il riait, se baissa pour être au même niveau qu’elle, elle pouvait voir la moquerie dans ses yeux, elle pouvait y voir une galaxie prête à l’engloutir toute entière. Elle refusait d’accepter qu’Antosha Bytchkov avait le pouvoir de la faire rougir, de la mettre dans tous ses états, de faire battre son palpitant si vite, trop vite. Il avait une emprise dangereuse, bien trop dangereuse sur elle et ça la tétanisait bien plus qu’autre chose. « Vas-y essaye. » Elle recula, trébucha presque sur ses pieds, alors qu’elle tenta de lui donner un coup de pied dans le tibia. Mais il attrapa sa jambe, la leva, et en profita pour se rapprocher d’elle. Ils étaient à présents à quelques centimètres de l’un et de l’autre. Elle pouvait sentir son souffle contre sa peau, caresser ses joues ; elle avait l’impression d’être minuscule, terriblement ridicule. « On t’a coupé la langue Iseult ? » Il n’y avait dans sa voix plus aucune once de moquerie, plus aucune once de provocation, juste une demande. Et avec cette question, elle aurait pu tout déballer, autant son obsession pour ses yeux chocolats, pour ses épaules bien construites, pour ses techniques de combat qui frôlaient la perfection que ce terrible amour qu’elle avait formé pour lui. Elle aurait pu lui dire qu’elle l’observait parfois dans un coin de couloir et qu’elle détestait le voir entouré de filles. Elle aurait pu également lui dire que leurs disputes annuelles avec lui l’emplissaient de joie et d’excitation. Elle aurait pu lui dire qu’elle avait plusieurs fois rêvé de l’embrasser, de frôler ses lèvres pour ne plus jamais les lâcher. Elle aurait pu lui dire tout ça, mais elle n’en fît rien. Iseult vrilla ses yeux dans les siens, et continua à tenir son regard plein d’interrogations. « You wish. » Mais sa voix tremblait un peu, ses mains aussi, il lâcha sa jambe, et frôla de sa main la joue de la jeune fille. Sa peau frétilla à son toucher, comme paralysée, elle le laissa faire. Sans réfléchir, elle enroula son bras autour de sa nuque, se rapprocha, limitant la distance entre leurs deux visages qu’à quelques millimètres. Puis, il brisa le silence, déposant sa bouche contre la sienne, l’emportant dans une valse passionnée. Dieu, elle avait rêvé de ce moment pendant des heures et des heures, son imagination ne faisait pourtant pas honneur à la réalité. Elle sentit l’instant où ses épaules perdirent toute tension, où leurs langues s’entremêlèrent, où toute leur frustration se dégagea d’un simple baiser partagé. Il la prit par la taille, la serra contre son corps, alors qu’elle passait ses mains dans ses cheveux. Puis, elle se souvint de qui il était, ce qu’il représentait. Elle ouvra les yeux, le repoussa quelque peu brusquement. Tout deux essoufflés, elle savait pertinemment que ses joues étaient bien plus rouges qu’auparavant, que ses mains étaient toujours tremblantes, désirant retourner là où elles étaient niché il y a quelques secondes. « Je dois y aller. » Elle bredouilla, attrapa son sac avec ses deux mains et s’en alla en courant.

EXPLICATIONS ;; Iseult et Antosha c’est un ouragan qui s’arrête jamais. Ca a commencé quand ils n’avaient que seize ans, la première rencontre a été explosive, attisés par la colère, la haine mutuelle quant aux noms qui les ont empli de préjugés, ils étaient destinés à se cogner dessus. Ils se sont entraînés ensemble, ont appris à se connaître, à s’envoyer pique sur pique, à se chamailler, se taquiner, gentiment comme méchamment. Puis la colère et le mépris ont laissé place à une attraction électrisante, un truc qu’ils ont nié, qu’ils ont combattu avant de se laisser emporter par la folle danse qu’est à présent leur relation. Iseult dit le détester, encore aujourd’hui, elle se noie dans son déni, son propre mensonge, alors qu’à ses yeux il n’y aura toujours qu’un homme. Le sentiment est réciproque. Mais l’idée de s’aimer, alors qu’ils devraient se détester ne rend que davantage leur relation difficile, compliquée, chaotique, probablement toxique. Ils ne savent jamais sur quel pied danser, se dire je t’aime et s’enlacer, ou se crier dessus, se jeter des vases à la figure. Ils ne se sont ouvertement jamais dit je t’aime, alors que leur partie de jambes en l’air dure depuis maintenant neuf ans. Jamais aucun n’a eu le courage de passer la porte, de chuchoter ces quelques mots naïfs. Pourquoi ? par fierté, pour n’être pas le premier à le faire. Et pourtant, tout deux savent, même s’ils se voilent la face, qu’ils s’aiment terriblement, horriblement, mais s’aiment quand même. Elle est son obsession, il est son obsession, plus ou moins des âmes sœurs tordus, cassés, brisés. Lorsqu’un autre homme s’approche trop d’Iseult ou qu’une femme vient coller Antosha, une jalousie maladive, mordante, presque étouffante s’accapare d’eux, recouvert pourtant de regards hautains, d’une posture je m’en foutiste qui bouillone intérieurement. Ils sont trop fiers, trop accaparés par le jeu, alors que leurs sentiments sont sans cesse brisés, esseulés. Ils s’épuisent, mais se réveillent. Ils s’étreignent comme se poignardent par derrière. Leur relation est un secret que personne n’a encore su déceler. Un Beauchamps et un Bytchkov ayant une relation hors mariage est impensable. Ils sont un Roméo et une Juliette dépourvu pourtant de la franchise de leurs sentiments. Et à présent qu’Iseult sait qu’elle sera fiancée à un Bytchkov, à son cousin, leur relation a été victime d’un fossé qu’elle ne sait pas recouvrir. Antosha l’ignore, la méprise, tourne l’épaule dès qu’il la voit. Qui plus est la nature même d’Iseult (Grisha) fait qu’elle n’a jamais réellement pu être elle-même à ses côtés, qu’elle lui a toujours caché ce qui fait elle. Ils ont été muté dans la région du nord, se voient donc dans l’obligation de travailler ensemble. Lors d’une mission dite bénine, ils ont été suppris par des résistants grisha, leur seul moyen de s’échapper était qu’Iseult leur avoue qui elle était, ce qu’elle était dans la résistance. Antosha a donc découvert ce qu’était Iseult. Il ne dit rien pour le moment, en l’évitant grotesquement, il ne sait pas quoi faire de cette information, il ne sait pas quoi lui dire, ni ce qu’est leur relation, en somme il est totalement perdu. (à savoir qu’il est également très loyal à Antoine Beauchamps, la seule personne qui a accepté de lui donner une seconde chance). (la mission où il a découvert ce qu’elle était était fin septembre) Iseult en revanche tente de réparer les pots cassés, mais la communication n’a jamais été leur forte. (l'anecdote de la découverte est la dernière de mon histoire)

je vous conseille d’aller lire ma fiche pour plus d’informations

bitter are the wars between brothers  ;; Nés à un an d'intervalle, Lazar et Antosha ont tout de suite été très fusionnels. Un lien tout à fait particulier alliant la filiation et l'amitié. Ils ont grandi ensemble, partageant les mêmes joies et les mêmes peines. Ils se sont considérés comme des frères même s'ils n'étaient que des cousins dans la réalité. Une impression renforcée par le fait que Lazar passait énormément de temps auprès de son oncle, Vladimir. Il voyait en lui un vrai père, loin de celui qu'il avait. Ils étaient heureux. Puis Antosha a perdu face à son frère. Il a été stupéfait, Lazar. Encore plus quand Antosha lui a dit qu'il avait été affaibli volontairement par son père dans le but de le faire perdre. Une accusation très grave qui l'a rendu perplexe. Il n'a pas pu choisir, Lazar. Il n'a pas pu faire un choix entre celui qu'il appelait frère et celui qu'il considérait comme un père. Antosha est parti, sans un mot. Lazar a été marqué durement par son départ. Par son choix. Il lui a manqué, Anton. Mais les années ont fini par atténuer son absence. Lazar est devenu l'héritier de sa branche et Vladimir a décidé de le prendre son son aile. Il l'a formaté. Il a fait de lui un Bytchkov digne de ce nom selon lui. Lazar a rejoint le camp royal pour devenir Drüskelle. Il savait que Anton l'était devenu aussi. Cela lui a fait plaisir autant que ça lui a fait mal au coeur. Les choses sont beaucoup plus différentes du côté de Antosha. A ses yeux, Lazar l'a trahi. Un sentiment qui s'est renforcé quand il a appris qu'il était si cher au coeur de son propre père. Il lui a volé en quelque sorte ce qui aurait dû être sa place. Ce qui a fait pencher la balance, c'est quand les fiançailles de Lazar et d'Iseult ont été annoncées. Dès cet instant, Antosha a fait une croix sur lui. Il l'aimait comme un frère mais il a désormais beaucoup trop de rancoeur et de jalousie pour parvenir à l'appeler ainsi de nouveau.  

titre du lien  ;; Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum.