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(( YOU'RE ITALIC, I'M IN BOLD )) / regina
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— junior scythe —
Scythe Chopin
Scythe Chopin
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— Messages : 226
— pseudo : ICE AND FIRE. AKA MANON.
— avatar + © : NOAH CENTINEO. (AV/@ODISTOLE)
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— âge : ((VINGT-TROIS ANS)) ;; la jeunesse dans les traits, un comportement parfois encore juvénile, ervin n'est qu'âgé de vingt-trois ans, et pourtant il a déjà la Mort dans les yeux. terriblement infatué avec le glanage que son métier impose, il a à pas même un quart de siècle déjà ôté la vie d'une centaine de personnes ; il n'a pourtant jamais flanché, jamais été choqué, jamais refusé.
— statut civil : ((CELIBATAIRE)) ;; ervin n'a jamais réellement été habile quand il en venait à l'amour, ni à ses relations sociales extérieures. un garçon charmant, souriant en apparences mais terriblement effrayant lorsqu'il venait à montrer son vrai visage. il est célibataire, puisque les commandements scythe le lui imposent, mais il a déjà été amoureux une fois. une seule fois il a osé se plonger dans les yeux d'une nymphe, une seule fois auront suffi, puisqu'il ne voit, ne verra jamais plus qu'elle. tilda, son prénom résonne encore alors qu'il se souvient de la terrible chose qu'il a commise.
— allégeance : ((NOUVEAU ORDRE)) ;;
— métier : ((JUNIOR-SCYTHE)) ;;
— nom de naissance : ((ERVIN VIRMUND)) ;;
— disponibilité rp : (5/6) tilda, thomas, tilvin flashback, scythe austen, scythe bonaparte.
— points : 433

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— 11.11.18 18:04 —


Copycat trying to cop my manner, watch your back when you can't watch mine. Copycat trying to cop my glamour Why so sad, bunny, you can't have mine? Call me calloused, call me cold You're italic, I'm in bold.
Scythe Chopin redevenu gosse, redevenu enfant, redevenu l’ombre d’Ervin. Quelques pas franchis, un cœur lourd, un regard posé sur la bâtisse hissée sur un jolie piédestal : le palais dans lequel il avait grandi, souffert, pleuré, torturé, oublié, et bien plus tard appris à renaître, à se connaître, à se défaire de sa toxique influence. Il n’était pas réellement friand de l’idée de se rendre dans la cour d’automne pour glâner, ça lui rappelait toujours des souvenirs, des moments passés, ratés, effacés. Et ça faisait parfois saigner le cœur, ça le faisait battre dans la cage thoracique plus que ça n’aurait dû. Il espérait parfois croiser son père, son frère ou ses sœurs, leur dire à quel point il avait changé, à quel point il n’était plus Virmund, à quel point il les méprisait tous, sans exception. Ils étaient son pire cauchemar, la chose qu’il avait appris à détester bien plus qu’autre chose. Cet endroit était maudit, son cauchemar fait de soie et d’argent, et pourtant, c’était le menton levé qu’il s’était rendu à H’Rinski, il n’allait montrer aucune faiblesse, aucune vulnérabilité, juste une détermination d’acier. De son poing froid il venait de glâner un innocent, il aimait l’idée de répandre dans cette terrible ville, le deuil et l’angoisse. Ces passants qui le voyaient arriver, qui baissaient la tête parce qu’ils reconnaissaient son visage d’autrefois et sa cape qui représentait ce qu’il était aujourd’hui. Il y avait un certain message qu’il faisait passer à son père ou à sa famille en glânant dans ces lieux, en tuant, petit à petit tous ces gens qui l’avaient autrefois méprisé. A présent ils avaient peur, étaient nerveux, et il n’y avait rien de plus beau que de voir le visage d’une ancienne connaissance se métamorphoser en une terreur jouissive. ô oui, cette fois-ci ils se souviendraient de lui, cette fois-ci ils apprendraient à craindre la menace plutôt que l'ignorer. Il y avait dans ses actes très souvent une provocation, il n’avait encore glané personne des familles vassales, mais quelque chose l’encourageait pourtant à bientôt passer cette frontière. Peut-être attaquer quelqu’un qui appartenait à la ridicule secte que son père avait créé, puisqu’il n’avait pas le droit, ni la juridiction de glâner quelqu’un de sa propre famille. Il voulait se venger, esseulé cette rancune qui s’était éprise de lui pendant toute sa vie. Il fallait bien qu’il mette un jour les points sur les i et ce jour arriverait bientôt. Et dans la chute de son ancien nom, de ce palais, il y verrait les larmes de son père, ses genoux touchant les pavés, sa tête hoquetant et le suppliant de lui pardonner.  Ces rêves de grandeur arrivaient toujours à le faire sourire, même rire.
Il se baladait à présent à la lisière de la grande ville, son cœur tantôt lourd, tantôt joie, son cerveau en ébulition, tentant parfois dans la foule, d’apercevoir le visage de l’un des siens. Mais c’était inutile, inutile parce que de toute façon il n’aurait ni l’envie, ni la foi de s’engager dans une joute verbale endiablée. Il ne savait que cracher sur eux, comme ils ne savaient que cracher sur lui. Puis ses yeux s’accomodèrent et une longue chevelure brune passa devant son champ de vision. Elle n’avait pas changé, était toujours la même, était toujours si terriblement parfaite. Scythe Chopin grimaça, il était partagé entre l’envie de la provoquer, la faire sortir de ses gonds, ou la laisser en paix. Mais le besoin constant de jouer à l’insolent, de l’énerver était trop grand. Il se leva de son Piédestal et s’engagea dans sa direction, un sourire vainqueur déjà mué sur les lèvres. « Alors, très chère sœur, toujours l’obéissant petit clabaud de papa ? » le sourire persista sur les lèvres du garçon, alors qu’il jouait avec son épée. « C’est étrange que de te voir si loin du palais, pourquoi n’es-tu pas avec ton mari ? en train de comploter dans son dos pour prendre la couronne à sa cousine ? » il était enragé, en colère, le même gosse d’il y a cinq ans. « Ou c’est juste que tu ne peux pas rester trop longtemps séparé de papa ? J’ai peur que si Thomas siffle, pour que tu retournes gentiment à ses pieds, tu ne l’entendes pas d'ici. » Il lui en voulait terriblement pour quelque chose qui la dépassait probablement, mais c’était tellement plus simple que de lui être aimable, que d’avoir de l’empathie, que d’être le petit frère qu’il aurait peut-être dû être.
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