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— spoilt and rotten —
Shahrzad Beauchamps
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— Messages : 70
— pseudo : BOHEME
— avatar + © : z kravitz - CASSIℭ
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— âge : La juvénile qui jure des périls. Ces périls d'allures puériles. Les vingts-cinq en piètre damnée
— statut civil : Cœur à pendre; de ces épousailles épouvantails. Corps à prendre; des bacchanales arrachées à l'ingénue qui n'inspire qu'à s’amouracher.
— allégeance : A la rémanence de son sein. Dessein aux traits tanguants, ça dessine le tangible. Il y a des mues qui ne changent pas; les écailles sous la fourrure.
— métier : Fait mouvoir des corps; des morts internes à réchauffer. Quel ange proche de Lucifer par ses poésies fauves. La pianiste de la court maraboutée.
— nom de naissance : Jaafari. Judas en baisers roussis. Des écaillures pour la soif de ses parures. Zénith poison aux oraisons élites. Ça loue des prières vipères en cœur, ces enfants de chœurs trop bien maquillés.
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— 22.11.18 22:01 —


— ShahrzadBeauchamps
J’ai tellement besoin d’amour, de tes bras, de ta voix de velours. J’ai tellement besoin d’amour, tu ferais de moi ta belle de jour.
PRENOM, NOM - Shahrzad. Charade des embrassades. Milles et unes ruines. Cette connotation des contes défaits. Se dévêt face aux cieux pour les pluies d'étoiles cramoisies. Fière fièvre face à Beauchamps. Le blason autochtone à son dedans. Élan inerte pour un piètre trône; à en chier l’aumône. Et Jaafari. Judas en baisers roussis. Des écaillures pour la soif de ses parures. Zénith poison aux oraisons élites. Ça loue des prières vipères en cœur, ces enfants de chœurs trop bien maquillés. La tiare des crocs de velours sur l'ovale de ses tourments criards qu'elle cajole face au plomb.  AGE -  La juvénile qui jure des périls. Ces périls d'allures puériles. Ceux qui confirment l'avulsion précoce de l'écorce éphèbe de venus. Ceux en guise de révulsions aux ivresses exquises. Ces périls en années, les vingts-cinq en piètre damnée.  DATE ET LIEUX DE NAISSANCE - Un 13 décembre en guise d'équinoxe sacrée. Pluie de lumière sur la réminiscence des essences printanières. A Illaria. Iles sans parcimonie. Parfum des écumes fleuries, chemins en damas fruités. En son arôme exquis toujours accroché à sa peau qui luit.  STATUT - Héra déchue. Échouée dans l'écrin de ses propres déchéances; espoirs déchets. Cœur à pendre; de ces épousailles épouvantails. Corps à prendre; des bacchanales arrachées à l'ingénue qui n'inspire qu'à s’amouracher. Ça aspire des larmes aux lèvres, des sourires aux yeux. Bancale en est la comédie diurne. Fatale hétaïre, haïs par sa simple présence misérable.  METIER - Cogne ses pognes sans vergogne pour faire sonner ses belles notes. Sur des touches glacées en nuances brutes. De noires à blanches, ce piano, cher à son cœur. Fait mouvoir des corps; des morts internes à réchauffer. Les souffles accrochés à ses phalanges débridées. Quel ange proche de Lucifer par ses poésies fauves. Rythmes de sabbat. Rites gaga. Rires à tout vas. La pianiste de la cours. Couronne maraboutée par ses bouts apollons. Appelée pour toutes épopées en joyaux. POUVOIR - écrire ici (s'il y a). ALLEGEANCE - A la rémanence de son sein. Dessein aux traits tanguants, ça dessine le tangible. L'odyssée de survie qu'elle s'enivre toutes les nuits diurnes. Rose des sables au creux de la meute. Les aiguilles vives derrière les sourires tout cousus. Il y a des mues qui ne changent pas les écailles sous la fourrure. Alors, gloire à ces démences douces. A ces miracles qui s'éclatent. LIEU DE LOCALISATION - Phobos en guise de tombeau diurne. Sorgue brute; échos des morgues sentimentaux. Les soirs y sont froids, là où les désarrois se nichent dans les magmas diluviens. Blesse son âme dans la liesse de la belle saison en souvenir. Illaria de ses émois en abois. En quête du soleil, ça dérobe la moindre occasion pour s'y éclipser. Cour printanière, mère des amours abondants. Ces vagabonds des paillardises en ses champs. CREDITS ET AVATARS - zoe kravitz @ultraviolences.
CARACTERE - quels sont les défauts et les qualités de votre personnage? (pas besoin d'écrire un texte)
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ANECDOTE 1 - Enfant sauvage. La jouvence baignée dans les fontaines des bourgeons effervescents. Est cette fièvre naissante qui déambule dans les cimes printanières. Nuances bucoliques sous ses paumes toutes frêles d'innocence. Le non-sens de ses journées passées sans fin au cœur des niches verdoyantes. Genoux tous rouges et joues gadoues. L'ingénue libre en silhouette dessinée dans les hautes herbes, celles qui chatouillent les rêves. A épouser ainsi ses rires insouciants à des parfums en airs badins. A apprécier les baisers zélés sur sa carne luisante de lavande et de fleur d'oranger. A le voir succomber sous les horizons des plaines cosmiques. Tableau qu'elle désire à jamais encadrer en son sein. Les mystères crépusculaires. Des années à présent choyées par la mélancolie qui refoule. Des images dérobées en ses apparitions éphémères. Illaria, paradis perdu. Jardin de son éden. ANECDOTE 2 - Ces fantaisies écrites. Réalités alternées sur papier. Lorsque les jours sont bercés par les fleurs soleils, les nuits sont reines des balades mystiques. Par la famille qui s'inscrit dans la culture excentrique. Univers fantasmagorique, fantôme des interdits. On lui fait voir des couleurs, des formes non palpables, de l'imaginaire sans frontière. Et l'esprit de la gosse s'accroît au sein de cet ère cosmique. Alors, à l'apogée lunaire, la fratrie se réunit sous les draps illuminés. Ça murmure des légendes sans noms et des tirades de renom. L'union des jeunes serpents dans leur tanière. C'est la première du sang qui lance les tirades du premier acte. Puis la troupe suit, par des symphonies ou des chorégraphies. Autour des étincelles de cire, danse le cramoisie sur les visages ébahis. Ombres chinoises contre les paillettes des murs, il y a des âmes qui s'éveillent sous les dictons oniriques. Rituels vaudous où les caractères inertes s'exhument en chimère. Et les mirettes se pendent aux susurrements pleins de promesses et de liesses. "Milles et unes nuits" est son tombeau, l'écrin de ses admirations. Ça lui donne goût aux savoirs et à ses extensions abstraites. Dévore ainsi des livres et leurs couennes bien écrites. Passion pour l'antique, le mort biblique. De ces sens vrillés qui penchent pour la poésie délaissée. Parnasse de ses cimes tangibles. A plonger la curiosité de ses yeux dans une mer de vers. Ou ces légendes aux pages écornées. L'arôme en est exquise. Fables immorales; hymne à son mal. Le tout épinglé de jolies dorures sur couvertures. Serait-ce sa tendance pour les fins heureuses ? Ou le miroir de ses propres infamies ? Dans tous les cas, les réunions tapissées sous chandelles et unisson fraternelle, manquent à ses désirs enfouis.  ANECDOTE 3 - Pulpe contre ivoire. La douceur des appuis sur le sapin brut. De ces échos lourds, ça dompte les furies symphoniques. Fièvre qui jaillit de ses doigts en arabesques. Zeus qui en pâlit de ses foudres sur ce bois. Ça découvre l'instrument gamine. Quand les cieux pleurent bien trop contre la dorure de ses plaines natales. Alors, l'attention pivote sur des nuances autres que celles verdoyantes des forêts Perséphone. Blanc et noir. Contre-balançant les deux, pour surprendre les dieux. Le feu s'agite ainsi sur des partitions sans parcimonie. Parfois, ça joue à ne plus en respirer, à ne plus pouvoir bouger. Jusqu'à la tétanie et la calomnie. Compose des sentiments, la joie de vivre, mais aussi des tourments. Ode à l'aurore, à rendre or toutes histoires mal-aimées. Alors qu'elle, elle les chérit ces contes auxquels on ne veut guère croire. Surtout, la sienne. La misère sous la chair. Lèche ses blessures pour mieux amadouer l'horreur. A lâcher des morsures dans ses écrits lyriques. Et quand le cœur s'emporte, il y a ce filet de voix qui éclot. Un air d'oiseau tout en émotion. Celui qui ne va point avec les écailles longuement aiguisées. ANECDOTE 4 - Est cette jolie pousse, l'écume à peine fleurie. Mais précoce est la cueillette. Des mœurs comme mains assassines; à mort l'enfance au sein des champs dorés. Ça l'arrache trop tôt, ça la lâche dans d'autres crocs. Dans la gueule des loups, "la meilleure des leçons de vie" lui a t on dit. Et elle y croit. Enfin, au début. Mariage tout en mirages. Les premières années sont belles, dentelles sont les chimères. Il y a de la joliesse dans ces arabesques toutes nacrées. Sacre déjà bien roder. A la rafistoler avec un homme aux traits moirés. Il a ce parler qui la fascine, ce toucher qui lui façonne l'esprit rêveur. L'insouciance de l'inédit pour décadence. A la découverte de l'autre; l'apprivoisement exquis. Sans hantise, juste la convoitise des romances décalées. Sauf que ça s'effile, défile en accrocs les jours. L'époux qui repousse. Et la poitrine s'abîme. L'abîme palpitant taillé dans l'écorce. Griffures à l'âme greffées par ses soins. Lui, le mari indigne. Au corps conquérant le vice hors de ses draps, au cœur gouverné par une autre. Espoirs fous. Désir d'être affectionnée, rien qu'un amour en parcimonie. Flagrant dépit, crime envers sa personne, la fierté piétinée toujours à se relever. De ces stupres flagrances des autres vénus accrochées à ses airs. Alors qu'elle n'attend que ses venues éphémères. De ses absences plus que présentes. Et ses espoirs mabouls pour souffrance. Toujours les mêmes dictés par ses fantaisies candides. Cette fleur créatrice de ses propres épines.  ANECDOTE 5 - Soleil de minuit. L'âme zénith qui luit contre la pénombre. Est cette chaleur sur les malheurs. Celle aux mille mots pour narguer de viles maux. Elle en joue la bohème. Ça ajuste des phrasés pour des phases lunatiques, des faces faites de briques. Ça trompe par un cynisme habile, le tout cousu par des airs mièvres. La douceur aiguisée. Pour défendre la famille, les Jaafari. Pour avoir ses pognes encore plantées dans ses terres natales. Gadoue fleurie et viles féeries tenues en joug. Alors, ça ploie les mots à sa guise; la hantise du faux à gominer. Ça joue les diplomates entre des tableaux trop parallèles. Automate au cœur bien acyclique. A négocier des plaines mordorées et les veines de la fameuse contrée. Pour étendre sa survie au sein des sourires inversés. Langue ensorceleuse; cobra tenant ainsi la flûte. Un accent de priapée sur le coin du minois. Bouche à malice. Fougue en massif. La brutalité du dedans choyée, celle adoucie pour mieux impacter. Être parmi les loups, ça vous apprend à comment les amadouer. Non soumise, juste indécemment subtile. Et ça plait. Ce charme solaire qui récolte des rictus bien polarisés. Alors qu'elle, elle brûle des codes tout en ce les appropriant. Athéna sous Aphrodite; la maudite qui se pavane. ANECDOTE 6 - Géhenne invisible. Haine du dedans risible. Ça attend pourtant. Encore et toujours. Avec ce machinal; une marche de plus en plus en mal. A n'être que ce réceptacle de l'indécence d'une cadence mal-aimée. Va-et-viens crus; qu'elle peine encore à croire. Et ce n'est toujours pas là. L'essence qui doit battre sous la voute où pointe le nombril. Trop remplit de néant est le manque qui y fait logis. Ça se doute de sa nature controversée. Du revers difforme en son sein. Elle, femme trophée; femme finalement atrophiée. Par cet orphelinat de sa propre abondance. Et ces oraisons déraisonnables; à ployer sa dignité dans des paumes cosmiques. Douleur aux multiples couleurs. Celles aux reflets pâles d'espoirs noyés. Celles criardes qui s'offusquent du devoir vénusté en absence. Celles appuyant les agressions du mari jupiter. Et celles dont le flou rend fou, où être mère n'est qu'amer clair-obscur. Que de désillusions pour engrosser la noirceur diluvienne. ANECDOTE 7 - Le nerf de Bacchus. Bouche qui se mouille de paillettes, ces éclats qui lui montent à la tête. Par ces banquets de stupres nocturnes. On les connait les bals Jaafari, l'aval de toutes sournoiseries. Où quand le jour s'éteint, elle s'étreint des excès. L'abcès de son dedans décadent qui en débordent. Bénit alors les eaux de vie et les orchestres en absinthes harmoniques. Aubade de l'âme; plantes nues sur le marbre mordoré. A mordre de sa fière ces bacchanales bancales. Yeux flous des mélodies et cœur fou des vogues hallucinogènes. Les plantes maîtresses de chimères qui vous font palper le front des divinités. Elle a tout goûté. A l'ivresse des liesses. Tout sauf aux carnes torrides. A la terreur des danses en extase. Et elle qui entend les ébats embrasés briller au loin. Qui aveugle ses désirs paradoxes à l'envie puérile de chasteté. Romantique maladive. L'utopie qui lui joue des tours avec ces quelques baisers volés; moindre face à la liberté dorénavant arrachée. Lascivité qu'elle doit canaliser, la difficulté croissante avec les années.  ANECDOTE 8 - La sybarite controversée. Goût pour les blandices sans blancheurs. Ces facettes solaires à la décadence toute réglée. Un peu beaucoup sans que cela soit trop. Minois ancré au creux de douceurs malicieuses, la voix voleuse de sciences cachées. Il y a cette silhouette drapée de voiles légers. De ces caftans à la flatterie démesurées. A la charogne qui émerge sous les coupes bohèmes, poèmes de sa court natale. Avec des épaules ou des clavicules parfois audacieuses, exposées aux mirettes astrales. Mais l'être et le corps ont davantage l'impression de vivre allégrement dans la liberté de leurs mouvements. Puis la posture serpentée. Statue ambulante. Aux gestes aériens, à la finesse éternelle. Ça déambule en vipère sous des tulles brodées d'habiles tournures. Mais merveille vermeil. Celle toute lisse au dehors, celle qui crisse en son dedans. A collectionner des courbatures de l'âme. La fouge gratte le dedans, bête noire qui s'agite. Poupée hantée. Le cliché des terreurs en son fort intérieur. A présent, il n'y a que des contradictions en tourbillon de feu furieux. A quand les premières fêlures sur l'éminence ?
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Dernière édition par Shahrzad Beauchamps le 22.11.18 22:02, édité 1 fois
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