And now I rise est un forum principalement basé sur ces oeuvres: Scythe ainsi que Six of Crows. Il est possible de jouer trois peuples différents: des humains, des grisha ou encore des scythe. La prochaine intrigue prendre lieu dans quelques jours, so buckle up parce qu'en vous inscrivant vous vous embarquez dans une histoire folle et mouvementée.
— âge : Trente-deuxième cuvée bouffée par les affres temporels, s'amassant en un tas de poussière encore perdu dans quelques traits juvéniles.
— statut civil : Myocarde esseulé, peinant à se condamner à l'attache d'un palpitant étranger et dans la peur d'aimer. Songeries purement utopique d'une moitié à amouracher. L'échine demeure abstraction et le genre détail, jeux de carcasses, seule l'essence important véritablement, au delà des interdits.
— pouvoirs : Mage terrible aux pognes serties d'habileté, Tailor se jouant des carcasses. Les grigris, symboles ésotériques et décoctions amphigouriques en murmures et à l'ombre des œillades. Gosse prodige et au cruor pur rongeant les entrailles.
— allégeance : Mutisme prédominant, les lippes clauses et demeurent passives, subissent les élucubrations en une neutralité mordante, se refusant à chercher les accablements, bien qu'une préférence morale se marque pour la résistance.
— métier : Glaneur de trésors et collectionneur avide. Détenteur de rêveries en tout genre pour mieux appâter les mirettes, antiquaire qui revend ses broutilles, chine et restaure, détenteur d'un étrange cabinet de curiosité où se glisse quelques rarissimes reliques. Lorsque le macabre ne se glisse pas dans les babioles, taxidermiste aux heures de perdition, embellissant les carcasses de bêtes oubliées, pour appâter.
— localisation : Vagabond aux panards portés par le vent, pour mieux glaner le rare et les spécimens avant de marchander. L'antre se dresse pourtant à la cour d'automne, connaissant le tracé à prendre vers le QG en cas d'hostilités.
— tell me your story :
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— points : 487
— 23.11.18 17:40 —
paradis & briavel
fantaisies macabres — I've lost a lot a in this game. Another everyday face with no name. I'm not selling misery. So won't you stay a while with me.
Givre sempiternel contré par les murmures plaintifs d'un foyer trop gourmand et à l'appétit vorace, bouffant les branchages pour mieux les exterminer entre ses crocs incandescents. Il dégueule ses relents chaleureux pour mieux embaumer les pommettes rosies de quidams en perdition, voûtés sous les capes, appâtés par les quelques broutilles et babioles qui trônent sur les étagères en mille trésors inconnus qui prolifèrent. Il y a un panel de faciès qui défile, étudiés avec soin, glanant leurs expressions en quelques imageries mentales qui deviendraient abstraites à défaut d'avoir le temps de les immortaliser dans le plomb et paperasse. D'abord les curieux, intrigués et aux rictus parfois timides, serti d'émerveillements passagers. Ensuite les réfractaires, aux grimaces délicieuses qui en ferait ricaner le maître incontestable des lieux, ceux qui entrent par nécessité, par besoin de frisson, porté d'avantage sur l'antiquité simpliste, se renfrognent aussitôt, préfèrent le marbre de bustes d'une banalité affligeante ou l'éclat de joyaux.
Et le jour file, décline, dans les nuances bigarrées d'une soirée qui s'ébauche. Les badauds s'activent, filent, les derniers visiteurs transpirant la hâte de rentrer pour mieux se confiner. Il n'a pas bougé Briavel, omis pour astiquer quelques cloches de verre, la carcasse repliée derrière la masse d'un comptoir boisé, un coude maintenant le chef en une moue égarée entre l'ennui et les quelques méditations coutumières, dans une perdition distraite et les futilités poignantes de son imagination trop fertile. Les mirettes se sont accoutumées aux ombres qui se dessinent, projetées par le foyer en des histoires invisibles et fantaisistes qu'on ne prend plus le temps de s'imaginer.
Vint le tour d'un quidam au faciès nettement plus connu, avant que les portes ne se ferment jusqu'au lendemain, voyant fleurir le prince attendu pour quelques bagatelles des plus macabres. Il ne relève guère, le collectionneur, l'obsidienne d'un crin qui n'eut pas grand chose de coutumier, dans un premier temps, parce qu'il fut trop coutumier aux jeux de carnes et métamorphoses, au delà des sempiternelles distractions. Une demi-lune s'esquisse aux labres, demeurant cependant dans le mutisme d'une salutation muette, l'encéphale déjà arraché à la tâche en venir d'une leçon fantaisiste et sépulcrale. Les pognes s'attèlent à fermer le commerce dans le dos de l'autre, l'invitant d'une œillade à emboiter le pas dans ce qui put ressembler, pour beaucoup, à l'antre des horreurs.
Il n'attend pas, Briavel, avant de sortir une carcasse marquée par le trépas pour l'étendre sur la table. Volatile chatoyant aux ailes ôtées de leurs agilités, le plumage abyssal aux réflexions irisées, mais à l’œil vitreux bouffé par la brume crasse et délétère. « Un magnifique spécimen. » Murmure suave, en une pensée dictée à voix haute, à peine audible et pour ne pas briser les relents d'un silence paisible qui s'était installé entre les curieux. « J'espère que tu as le cœur accroché et que nous lui rendrons hommage. » Qu'il souffle à l'intention de l'autre, les phalanges effleurant les rémiges pour mieux dénicher les points à inciser dans le but d'ôter le derme, écorcher.
— âge : ( 2 3 a n n é e s ) à t'éclipser au creux de tes onirismes, ta carne fuyarde de ces étendards brandis et de ces sanguinolents conflits à en écorcher à vif les palpitants.
— statut civil : Tes esquisses semblent éphémèrement délaissées des fiançailles, la ( l i b e r t é ) flamboyant au coeur des rutilantes racines alimentant ton essence quand bien même ton myocarde se rompt passionnellement envers une existence masculine. idylle interdite qui l'effrite de douloureuses acrimonies.
— allégeance : Ta loyauté est incapable de s'enticher d'un camp, la ( n e u t r a l i t é ) embrasant tes idéaux crépitants d'espoir pacifiste, le retour de la paix incendiant tes désirs.
— métier : Ancien ( g e m m o l o g u e ) reconverti en ( p e i n t r e ) spécialisé en portraits & natures mortes, les attentes familiales si essoufflantes asphyxiées de tes talents artistiques entremêlés de rêveries ornementées d'idéalisme.
— localisation : Tes élans suintants d'une candide curiosité forgent tes innombrables escapades à travers le monde. ( v o y a g e u r ) qui se complaît souvent à travers les découvertes de royaumes inconnus dissimulés parmi les courts.
— disponibilité rp : 0/4 ( i n d i s p o n i b l e )
Il y avait ce cendré auréolant ferventement le firmament. Abyssale parure expiant quelques lactescente sphères gelées, agrémentée de ces habitations enrobées de leur neigeux manteau. Une doucereuse brume s'extirpait incessamment de tes lippes entrouvertes, les sabots de ta monture cavalant à travers le glacial immaculé gisant silencieusement au sol. Aveuglante tapisserie s'effritant sous l'ardeur de chacun des accablements de ton étalon à la charbonneuse robe, les ondulations de sa capillaire soie oscillant à travers les airs au creux de son véhément et élégant sillage. Vagabondage qui s'écroula subitement, les équines arabesques se médusant ardemment du bout de tes rênes agilement tractées de tes délicates phalanges. Ton crâne s'affaissa, lascivement rabattu vers l'arrière tandis que tes iris divaguèrent, férocement happés par cette toile constellée suintante d'évanescentes orbes étoilées. Marmoréennes perles qui furent accueillies au creux de tes paumes, trépassant silencieusement alors que tes talonnettes estropièrent les flancs obscurs. Votre déambulation se fit à nouveau efflorescente à travers les ruelles.
Les sibyllines esquisses de cette bâtisse engorgée d'antiquités s'exhibèrent finalement à tes prunelles, ornement qui s'insinua progressivement au creux de ton panorama. Lucarne truculente d'ésotérisme au coeur de laquelle tu t'engouffras, ton étalon délaissé à proximité de l'imposante devanture, les tourments à l'égard d'une indésirable escapade de sa part incapables de te calomnier. Une forêt de bocaux abritant mille et un écrins pulpeux immortalisés de l'éternelle ardeur du formol heurta tes prunelles qui s'écarquillèrent de complaisance. Morbides curiosités éveillant pourtant tes élans asphyxiés de fascination, le détenteur de ces innombrables oeuvres cadavériques t'accordant de distinguées salutations qui furent réfléchies de tes esquisses. Une invitation à t'enliser à travers ses funéraires épopées écuma fugacement d'un revers de ses iris. Une requête que tu assouvis de ta cadence diligentée, son ombre accompagnée de ta silhouette pour vous insinuer au fin fond de cette antre régie de son artistique dévotion. Une volatile carcasse macula la table. Dépouille criarde d'une plumeuse iridescence qui éveilla tes candides contemplations. Hypnotisme qui fut cependant craquelé de la suavité du gravé de Briavel.
Je n'ai jamais vu un oiseau aussi splendide. Où l'as-tu trouvé ?
Tes prunelles crépitèrent d'une fervente curiosité. Un pétillant flamboyant que tu ancras au creux du regard de l'homme, nullement essoufflé d'effroi envers la macabre chirurgie qui s'apprêterait à se repaître de la carne trépassée.
— âge : Trente-deuxième cuvée bouffée par les affres temporels, s'amassant en un tas de poussière encore perdu dans quelques traits juvéniles.
— statut civil : Myocarde esseulé, peinant à se condamner à l'attache d'un palpitant étranger et dans la peur d'aimer. Songeries purement utopique d'une moitié à amouracher. L'échine demeure abstraction et le genre détail, jeux de carcasses, seule l'essence important véritablement, au delà des interdits.
— pouvoirs : Mage terrible aux pognes serties d'habileté, Tailor se jouant des carcasses. Les grigris, symboles ésotériques et décoctions amphigouriques en murmures et à l'ombre des œillades. Gosse prodige et au cruor pur rongeant les entrailles.
— allégeance : Mutisme prédominant, les lippes clauses et demeurent passives, subissent les élucubrations en une neutralité mordante, se refusant à chercher les accablements, bien qu'une préférence morale se marque pour la résistance.
— métier : Glaneur de trésors et collectionneur avide. Détenteur de rêveries en tout genre pour mieux appâter les mirettes, antiquaire qui revend ses broutilles, chine et restaure, détenteur d'un étrange cabinet de curiosité où se glisse quelques rarissimes reliques. Lorsque le macabre ne se glisse pas dans les babioles, taxidermiste aux heures de perdition, embellissant les carcasses de bêtes oubliées, pour appâter.
— localisation : Vagabond aux panards portés par le vent, pour mieux glaner le rare et les spécimens avant de marchander. L'antre se dresse pourtant à la cour d'automne, connaissant le tracé à prendre vers le QG en cas d'hostilités.
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— 28.11.18 23:33 —
paradis & briavel
fantaisies macabres — I've lost a lot a in this game. Another everyday face with no name. I'm not selling misery. So won't you stay a while with me.
Et l'autre étincelle de son regard avide de comprendre, saisir, apprendre les esquisses crasses pour mieux embellir, rendre beau le dramatique. Gosse attentif qui lorgne sur la carcasse dévorée par le trépas, réservée à un destin terrible et une immortalité figée. A l'image de ces hommes qui ne vieillissent plus, affrontent le temps pour mieux remporter la manche. Il songeait parfois, Briavel, à quel point l'immortalité pourrait finir par être ennuyeuse, dans les répétitions de jours qui n'en finissent plus, fatigué d'exister et de voir le monde se mouvoir encore et toujours. Peut-être qu'il préférait de loin les aptitudes et l'éphémère, le Grisha, adulant quelque fois les beautés macabres, n'osant imaginer une existence sans ses dons qui furent trop souvent qualifiés d'infamies par une trop grande majorité.
« Un bourgeois qui en a fait son trophée de chasse, il aimerait l'immortaliser pour embellir le haut d'une étagère déjà bien assez remplie si tu veux mon humble avis. » Le rictus s'élargit un peu plus, triste de constater que certains s'adonnaient à outrance à ce genre de pratique. Mais il ne refusait pas ses bons clients, le taxidermiste, parce qu'ils payaient bien, permettaient une vie relativement confortable dans sa demeure aux premiers abords sommaires, pas peu fier de ses quelques réputations qui couraient par delà les terres.
Les phalanges s'enferment dans des gants, un scalpel trouvant une paume pour mieux dénicher le lieux d'une première incision. Découpe adroite, méticuleuse, surtout pour les volatiles qui furent particulièrement complexes à écorcher puisqu'il fallut conserver la tête pour en préserver le bec. Travail de précision, doutant que l'autre, le prince, n'osait délier sa langue pour ne pas déconcentrer. « Nous ne ferons que lui ôter la peau pour aujourd'hui. Il va falloir la tanner pour la conserver, c'est assez long comme processus, environ quatre jours. » Qu'il souffle, le curieux, un rictus navré aux lippes et détaché du dégueulasse qui s'opère, parce que Paradis ne verrait probablement pas le résultat, la bête figée dans son allure grandiose. Les pognes continuent leurs tracés délicats, tâchant de ne pas abîmer les plumes du volatile à la chair préalablement gelée. « Mais j'ai de quoi combler ton appétit. » Murmure suave, comme pour le rassurer que les quelques fantaisies morbides ne s'arrêteraient pas au bout de quelques pauvres minutes peu ragoûtantes et après une boucherie crasse.
« Ça change. La couleur te sied plutôt bien au teint. » Les syllabes sont vagabondes, désignant le crin d'ébène du jeune homme sans même lui accorder l'ombre d'une œillade, absorbé dans la besogne qui réclamait toute l'attention, l'esprit en partie vagabond par une évidence qu'il n'eut jusqu'alors pas relevé. « Une lubie passagère ? » Parce que ça arrivait, les envies de changer, d'être un autre pour quelques temps pour mieux se leurrer, même chez les humains. Il fut le premier à en avoir, Briavel, à devenir le cobaye de ses propres expériences, à tenter de modifier, mouvoir, exacerber. Et si les traits restaient globalement les mêmes, les teintes demeuraient artificielles, peinant à se souvenir du temps où il eu le crin et les iris claires, désormais accoutumé dans les assombrissements.
— âge : ( 2 3 a n n é e s ) à t'éclipser au creux de tes onirismes, ta carne fuyarde de ces étendards brandis et de ces sanguinolents conflits à en écorcher à vif les palpitants.
— statut civil : Tes esquisses semblent éphémèrement délaissées des fiançailles, la ( l i b e r t é ) flamboyant au coeur des rutilantes racines alimentant ton essence quand bien même ton myocarde se rompt passionnellement envers une existence masculine. idylle interdite qui l'effrite de douloureuses acrimonies.
— allégeance : Ta loyauté est incapable de s'enticher d'un camp, la ( n e u t r a l i t é ) embrasant tes idéaux crépitants d'espoir pacifiste, le retour de la paix incendiant tes désirs.
— métier : Ancien ( g e m m o l o g u e ) reconverti en ( p e i n t r e ) spécialisé en portraits & natures mortes, les attentes familiales si essoufflantes asphyxiées de tes talents artistiques entremêlés de rêveries ornementées d'idéalisme.
— localisation : Tes élans suintants d'une candide curiosité forgent tes innombrables escapades à travers le monde. ( v o y a g e u r ) qui se complaît souvent à travers les découvertes de royaumes inconnus dissimulés parmi les courts.
— disponibilité rp : 0/4 ( i n d i s p o n i b l e )
Tes iris flagellaient incessamment de leur contemplation l'iridescence ornementant le plumage de la créature trépassée. Une truculence dont tu ne pourrais jamais te galvaniser dans son entièreté, seules les rosacées, verdâtres et grisâtres nuances affriolant cette tritanopie t'essoufflant inlassablement. Curiosité erronée qui te hanterait jusque dans les tombaux abîmes. Tes tympans furent émoustillés des explicatifs dires du taxidermiste. Artiste mortuaire dont les phalanges s'aiguisèrent de ce scalpel qu'elles écrouèrent minutieusement. Son émoulu flanc se logea finement au creux du corium, sillonnant délicatement le long des arabesques pour dévêtir la carcasse de sa criarde parure. Avènement de longs soins ne pâlissant guère face à ceux momificateurs, destinés à immortaliser le volatile qui estampillerait à son tour l'étagère de son possesseur fervent de ces funéraires joyaux.
Tu as une dextérité étonnante. Comment as-tu appris à inciser avec autant de précision ? Ton expertise me fascine.
De rutilants et chétifs ruisseaux jaillirent des flamboyantes crevasses progressivement efflorescentes. Acrimonies qui épousèrent les esquisses donc le sanguinaire exhiba son paroxysme lorsque le plumage commença à délaisser la pulpe, peu à peu dévoilée à ton ardente curiosité. Macabre spectacle qui ne parvint pourtant à éroder tes entrailles d'effroi, tes prunelles ferventement happées des ésotériques balbutiements des paumes de Briavel, effervescentes de ces batifolages scrupuleusement parés d'une chirurgicale maîtrise.
Comment se tanne la peau ?
Candide curiosité expiée du bout de tes lippes quand bien même le malsain vous engouffrait ardemment au creux de ses méandres. Une insanité qui ne semblait néanmoins apte à t'enliser au coeur de ses obscures abysses, l'innocence assujettissant ta quête de nouvelles découvertes asphyxiant tes pensées. Et le gravé de l'homme tinta une énième fois à travers les airs, éveillant ce croissant rayonnant de béatitude qui s'avachit le long de tes badigoinces et embrasant tes désirs d'exploration de l'inconnu. Tes imaginatifs élans commencèrent à frétiller, ébouillantant progressivement tes méninges jusqu'à ce qu'un compliment inattendu fleurit d'entre les lippes du taxidermiste. Une douceur qui lénifia ton existence jusqu'au bout des cuticules, l'affection de Briavel symbolisme de cette denrée éclatante d'une afféterie immortelle à ton esprit.
Merci beaucoup même si j'avoue avoir été surpris par ce nouveau coloris si assombri.
Torpeur t'ayant récemment et âprement accablé, ruinant l'ensoleillement d'antan de ta vénitienne soie. Un ternissement qui ne fut accueilli de ton être que plusieurs semaines ayant succédé ton enfer. Et le sourire sublimant tes lèvres s'étiola soudainement lorsque l'interrogation de l'homme déflagra, te flagellant au coeur même de tes trippes, écorchant silencieusement à vif ton palpitant tandis que tes phalanges se crispèrent douloureusement contre la surface aplanie embrassant la carcasse. Tes prunelles s'éclipsèrent finalement de la valse funéraire tandis qu'un frêle blizzard opulent de frissons se délecta de ton épiderme. Les insoutenables souvenirs de cette torturante agonie ayant martyrisé ton existence affluèrent au creux de ta mémoire. Des horreurs que ta conscience tenta d'effriter, suffoquant terriblement.
Torture ...
Frémissante et souffreteuse supplication qui s'extirpa d'entre tes lèvres, la lypémanie insufflée de tes cauchemardesques réminiscences te harponnant progressivement.
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